
J'ai pris une décision dans ma vie, il y à déjà pas mal longtemps. Celle de faire du cinéma, d'écrire et de réaliser mes propres "vues" comme le disais si bien ma prof Mireille Lafrance.
Par contre ce métier présente une facette très difficile à accepter; la critique. Je n'ai jamais eu à faire face à un refus de passer mes trucs, ni une critique négative promptement expliquée sur mes oeuvres. Au contraire, j'ai plutôt été assez gâté.
Ce soir, il y à de ça quelques minutes, j'ai reçu une réponse négative d'un festival.
Ce qu'il faut comprendre, c'est que ce métier demande que l'on soumette ses films dans divers festivals, histoire de se promener avec notre "vue" et de la faire voir.
Le festival en question, je ne le nommerai pas. C'est un festival important en ce qui concerne les courts métrages au Québec.
J'ai reçu un courriel expliquant le refus de mon film avec comme seul explication:
Disons que c'est dur à avaler quand on croit fortement à ce que l'on fait. Mais comme je l'ai déjà dit, c'est le métier qui est comme ça et des gens qui n'aimerons pas mes "vues" il y en auras d'autres.
Le plus dur de tout cela, c'est la partie de nous-même, souvent émotivement extériorisée et bien pesante, que l'on garoche les yeux fermés au coeur de notre oeuvre... Poignarder mon film, c'est me poignarder moi-même...
Demain, je vais aller mieux !!!
Par contre ce métier présente une facette très difficile à accepter; la critique. Je n'ai jamais eu à faire face à un refus de passer mes trucs, ni une critique négative promptement expliquée sur mes oeuvres. Au contraire, j'ai plutôt été assez gâté.
Ce soir, il y à de ça quelques minutes, j'ai reçu une réponse négative d'un festival.
Ce qu'il faut comprendre, c'est que ce métier demande que l'on soumette ses films dans divers festivals, histoire de se promener avec notre "vue" et de la faire voir.
Le festival en question, je ne le nommerai pas. C'est un festival important en ce qui concerne les courts métrages au Québec.
J'ai reçu un courriel expliquant le refus de mon film avec comme seul explication:
« Film à message (il ne faut pas polluer), Changer
d'air présente un cadrage inadéquat et un mauvais son.
Le personnage du docteur s'avère peu crédible, puisque
joué de façon robotique. Le films présente des longueurs,
une musique agaçante et une conclusion banale et prévisible.
Toutefois, l'idée de départ est intéressante et le scénario
présente des avenues originales. Enfin, l'interprétation
des acteurs principaux est très correcte. »
Disons que c'est dur à avaler quand on croit fortement à ce que l'on fait. Mais comme je l'ai déjà dit, c'est le métier qui est comme ça et des gens qui n'aimerons pas mes "vues" il y en auras d'autres.
Le plus dur de tout cela, c'est la partie de nous-même, souvent émotivement extériorisée et bien pesante, que l'on garoche les yeux fermés au coeur de notre oeuvre... Poignarder mon film, c'est me poignarder moi-même...
Demain, je vais aller mieux !!!
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