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0 commentaires | lundi 28 juin 2004

Je suis allez voter. Un vote de plus. Un très important vote. Le mien. Aussi important que le vôtre. Tous nos votes sont importants. C'est la compilation de ceux-ci qui changent les choses. C'est la raison de l'importance d'allez voter.

Je ne suis pas du genre a caché mes opinions politiques. Le Bloc Québécois était mon choix, pour sa ferveure souverainiste. Je n'ai jamais caché mon patriotisme ni mon attachement a la cause de l'indépendance du Québec. Tout ce que je souhaite avec cette élection, c'est que le Bloc soit fort ainsi que les Conservateurs prennent le pouvoir pour donner la charge a une nouvelle vague du mouvement souverainiste. Car ne le cachons-nous pas, il est presque impossible de rassembler la population et de les sensibilisés a la cause souverainiste sans l'aide d'un gouvernement fédéral qui discrimineras le Québec, et c'est justement sur cette note que les Conservateurs vont jouer s'il sont élus.

Pas grand chose a dire d'autre que ca. Journée de merde au boulot. S'il ne pleut pas j'aurais peut être une partie de tennis entière a disputée ce soir, croisons nous les doigts.

0 commentaires | dimanche 27 juin 2004

Le titre de cette poste là sonne un peu comme une pub de mauvais goût pour une attraction touristique de catégorie B. Mais à bien y réfléchir, il demeure quand même que le titre convient parfaitement a l'endroit. Lorsque je dire "MA Place", je parle présentement de la place Jacques-Cartier, lieu historique conservé presqu'en parfait état et qui a pied a terre dans le vieux Montréal, en facade du vieux port, près de l'hotel de ville et de l'hotel Nelson. J'adore me retrouver là. J'y était hier. J'aime le soleil. J'aime les gens qui y sont. Le temps s'arrête, rien ne compte plus, que le moment présent. J'aime me balader parmis les artistes qui nous présentes leurs talents. Les photographes, les peintres, les portraitistes et les caricaturistes. Les amuseurs publics. Les "freaks shows". J'aime l'endroit, je l'adore. On s'y rend facilement par plusieurs stations de métro. Hier je suis sorti à la station Berri-Uqam, besoin d'allez au Archambault oblige (Achat du dernier Tarmac). L'envie me pris alors de marcher sur Ste-Catherine... Et aux coins de Ste-Cat et de l'Ave. de l'hotel de ville, j'ai déscendu la rue, direction place Jacques-Cartier. Un moozoo à la main, reluquant les bouquiniste du saint-Laurent et profitant du beau temps. Quel beau coin, quelle belle vie.

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Je ne suis pas une boussole. Je sais facilement où allez et comment m'y rendre, mais sans connaitre tous les coins du monde par coeur et savoir a quel coin de rue tourner pour me rendre a un quelquonque point.

Ce soir, je suis allez voir les feux d'artifices présentés a la ronde. Je n'était pas sur le site même, mais dans un parc stationnement où il était possible (déboursant 7$) de prendre assise (enfin, notre véhicule) et de voir cette pétarade de couleurs.

Une fois la soirée terminée, quittant le site, nous nous sommes rendus compte que certaines routes était bloquées par la police, voulant concentré la circulation en un seul point.

Ce fait, nous à amenez a prendre une route inconnu et a cherche notre chemin pour finalement ralongé notre trajet et le faire passer de 20 minutes a 2 heures. Vraiment, ont a tellement rient, surtout que pour recommencer le chemin dans la bonne direction, ont a retrouver le point de départ, comme dans les films.

Allez, j'en est marre, je vais dormir.

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Dans un précédent message je vous parlais de mon amour pour la musique. J'ai décider de vous livrer de temps à autre mes impressions sur des albums, mes coups de coeurs, mes artistes favoris etc... Juste pour le plaisir de la chose, comme tout le concept de blog, en fait.

Coldplay. groupe de la nouvelle génération de musiciens britaniques. Les anglais sont reconnus pour nous avoir montrés leurs expertisent en qualités de musiciens (Beatles, Rollings Stones, Oasis, etc...). Coldplay, c'est de la bonne musique. Je ne ressent pas du tout l'effet "commercial" ou le fameux "running pack" si famillier a la pluparts des nouveaux arrivages. Deux albums a leurs actif en ce moment, soit Parachutes et A rush of blood to the head. Au moment décrire ses lignes, je suis en train de me faire plaisir en écoutant leur première oeuvre.

Coldplay c'est des chansons douces, profondes, de belles paroles, de beaux arrangements. De la musique de qualité, des artistes fier et talentueux. Vraiment pas désagréable à l'oreille, loin de là. Leur troisième opus est en création, j'ai hâte a sa sortie.

Les chansons a écoutés sans questionnements: Yellow, Green Eyes, In my place, The Scientist, Politik.

Coldplay (www.coldplay.com), un groupe a découvrir absolument.

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J'ai appellé un de mes amis tantot. Olivier. J'avais envie de jouer au billiard. Lui aussi. La vie est ainsi faite. Quelques parties de "9" puis de billiard régulier. Finalement ont est partis. Chacuns chez lui. J'ai pris ma douche. J'ai décider d'allez voir mes emails. Miss Candy Girl m'avais écrite. Cette femme à vécu quelque chose de triste et d'instructif. Elle a cottoyée la mort. Ma soeur m'avais donnez le lien vers la page où elle raconte le tout. Perso, cela m'a grandement toucher, surtout le ton avec lequel elle traite de ca, celui d'actrice de ce film (malgré elle). Je lui ai fait part de mes encouragements pour passez outre cette rude épreuve, elle m'a remerciée de l'avoir fait. J'ai décider, donc, de vous donner le lien vers cette fameuse page: (http://www.misscandygirl.com/epreuve.htm).

0 commentaires | vendredi 25 juin 2004

Bonjour! Passés un bonne Saint Jean? Moi oui. Je suis allez faire un tour au chutes Mont-à-peine et j'ai eu pas mal de plaisir.

Aujourd'hui je vous fait part d'un projet personnel auquel je prend part avec un de mes bon amis: ALEX. Ce projet en est un de création. De bande dessinée aussi. Un projet satirique, sarcastique. Un projet qui va me permettre de faire un peu tout ce que je veut et de traiter de la société en général a ma façon.

Le titre: RIVIO. L'idée de base est très simple; Imaginez un instant une société normal ou le meurtre est légaliser. Une planète ou tout être humain a comme droit de tuer son prochain, par l'entremise d'agences spécialisées dans les meurtres. Je ne vous en dit pas plus pour le moment car le tout est encore au niveau embryonnaire, mais au courant de l'évolution des scénarios et des planches créées je vous posterez ici, tout ca. Pour le moment, voici en guise de prémise, une recherche de personnage pour Rivio.

Au plaisir....

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Je suis un très grand amateur de musique. J'aime de nombreux s et groupes. Parmis ceux-ci je dénombre la formation européenne TARMAC.

Le groupe est formé de Gaëtan Roussel et de Arnaud Samuel (membres de la formation Louise Ataque). Sons mélodieux, paroles recherchés. Guitares infuses, batterie discrète. Chants harmonieux. Songés, songeurs et passionnant. Tarmac, ce sont des poètes. Des musiciens hors du commun capable de transposés d'énormes sentiments dans leurs musique, hommage au monde et a la vie, si formatrice pour eux et leurs musique. J'ai appris a adorer ce groupe avec leurs premier album (L'atelier). J'ai acheter avec un peu de retard leurs plus récent opus (Notre époque).

Durant l'écriture de ses lignes, c'est ce qui se brasse dans mes oreilles et me donne le goût de vous écrire la dessus... Tarmac, a écouter et réecouter.

(http://www.tarmacmusiconline.com)

0 commentaires | mercredi 23 juin 2004

Je vous souhaites a tous et toutes une très bonne Saint-Jean Baptiste. Les célébrations qui ont lieux ce soir à Québec et demain a Montréal, ainsi que toutes les autres lieux de réunion privés ou publics, sont des lieux de rencontrer, de bavardage et de fête. Je veut et je souhaite que vous preniez ce temps pour réfléchir a votre status de québécois, a toute l'historique de ce peuple et aux enjeux d'avenir qui découle du fait d'être québécois. Je parle ici de souveraineté.

Je sais, je vous voit déjà les bras dans les airs a vous dires que vous en avez ras le bol... Ou encore a brandir le point en guise de patriotisme. Certains mentionne meme que cette pensée d'indépendance, de république québécoise est révolue. Je ne suis pas de cet avis.

Je crois plutot que nous devons prendre notre envol en tant que peuple et prendre en main notre avenir et nos enjeux. Je crois que le Québec mérite pleinement d'avoir sa place sur les bancs des décisions d'ordre international et non pas d'être la vache a lait d'un gouvernement fédéral qui discrimine le Québec. Je crois que ce projet de société est l'aboutissement d'un grand rêve qui, je le souhaite arriveras...

Bonne Saint-Jean. Vive les Québécois. Vive le Québec.

0 commentaires | lundi 21 juin 2004

Demain, un souper est prévu. Moi ainsi que quelques amis nous avons planifiés de se rencontrez dans un restaurant que nous aimons bien. Au menu, outre la gastronomie, beaucoup de plaisir. De très bons moments. J'en parle et j'ai déjà très hâte.

J'aime prendre le temps de bien faire les choses. Passez du temps avec les copains, histoire de bouffer et de prendre quelques verres (ou pichets) de très bonne Sangria. Prendre le temps de se voirs, de discuter, de refaire le monde directement dans notre verbiage. Prendre le temps de se découvrir plus que nous somme découvert. Prendre le temps d'écouter ce que les autres ont a nous dires.

Cette semaine, j'ai beaucoup de ses moments de prévus. Outre le souper de demain (auquel j'ai tellement hâte d'assister) il y a aussi quelque chose de prévu au calendrier pour la soirée du 23 juin.

Une dizaine de personne sont prévus dans cette sortie. Nous désirons déscendre a Québec pour fêter la Saint-Jean Baptiste. Rien n'est certain pour ca ni pour la suite. Car de mémoire, jamais une soirée ne s'est dérouler comme prévus, toujours, dans chacun des cas, les choix de déroutes ce sont effectués "live" au moment opportun. De là l'importance de relire un précédent message titré L'envie folle de partir.

Cette improvisation, qui mène nos soirées, c'est ce que j'aime. Je ne suis pas fan de la routine ni du préfabriqué et l'impro, outre que l'art de la scène, reste un choix et un "mode de vie".

0 commentaires | dimanche 20 juin 2004

Elvis Gratton; Derrière le rire. Assez enrichissant que d'écouter Pierre Falardeau et Julien Poulin raconter comment ils ont créer le personnage qui fait désormais parti de la culture collective québécoise. Beaucoup de gens, malheureusement, ne voient pas encore aujourd'hui tout le génie derrière cette création, toutes les possibilités qui en découlent et toutes les critique de la société qui est possible de faire.

Derrière son masque de gros méchant, Pierre Falardeau est un très grand sensible. Un homme au grand coeur, avec qui j'ai eu le plaisir de dialoguer durant une demie heure lors d'un précédente édition du salon du livre de montréal. Falardeau, c'est le grand timide, difficile pour lui de se faire dire qu'il est bon, il regarde partout et deviens gêner.

Poulin, c'est le fou, l'acteur idéal pour incarner ce personnage documentariste de la société québécoise. Ce personnage qui au font ne fait que nous démontrer que dans bien des cas, ont fait durs, que notre étroitesse d'esprit est indigne et que notre façon de voirs choses l'ai autant.

Elvis Gratton III, le nouvel opus de Falardeau sort en salle le 23 juin. Personnellement j'ai très hâte de m'assoir dans un cinéma pour voir ce film. J'ai toujours admirer Falardeau et d'ailleurs, en 2001, j'avais fondé un site qui est toujours en ligne et qui traitais justement du cinéaste. Ce site je l'ai tenu en vie avec l'un de mes amis: Guillaume Lafrance qui gère et met a jour aujourd'hui le site en entier. Je vous donne le lien en référence. je suis encore aujourd'hui très fier d'avoir participer a la création du seul site internet qui met vraiment en ligne une foule d'information sur le cinéaste.(http://www.pierrefalardeau.cjb.net)

0 commentaires | samedi 19 juin 2004

J'ai par pur hasar tombé sur un site internet qui avait retranscrit cet article paru dans LA PRESSE et qui dressait la liste (selon leurs "experts") des 25 pires chansons québécoises lançés sur le marché a ce jour.

Certaines sont vieilles, d'autres récentes et on divulgue aussi les raisons de ces choix. Pas scientifique, juste drôle, surtout quand en lisant le choix, ont se remet en tête le beat de la chanson, ainsi que ses paroles.

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NOS 25 PIRES CHANSONS

Bérubé, Stéphanie; Blais, Marie-Christine; Brunet, Alain; Cassivi, Marc; De Repentigny, Alain; de Repentigny, Yves; Guy, Chantal; Lepage, Aleksi K.; Lussier, Marc-André; Massé, Isabelle; Sarfati, Sonia; Vigneault, Alexandre

Inspirée par l'anti-palmarès des pires chansons dressé par le magazine américain Blender dans son numéro de mai, l'équipe du cahier Arts et Spectacles de La Presse s'est amusée à établir une liste des tounes québécoises les plus "poches ". Une enquête plus épidermique que scientifique - c'est-à-dire qu'on a choisi des titres qui nous font dresser les cheveux sur la tête - et tout à fait subjective, il va sans dire. Rimes risibles, textes incompréhensibles, interprétations vulgaires, orchestrations inutilement ampoulées... les raisons qui justifient nos choix sont variées. D'inconcevables mochetés manquent sans aucun doute à notre palmarès. Des chansons jugées pas si mauvaises s'y trouvent aussi (il y en a parmi elles que certains d'entre nous aiment en cachette). Toutes n'ont pas fait l'unanimité. Dans l'ensemble, ce clin d'oeil effronté regroupe les chansons qu'on déteste avoir en tête au moment d'aller dormir ou, dans les cas "les plus pires", qui donnent le goût d'étriper son voisin. Tournez la page...

LE TOP 25 DES PIRES CHANSONS

1
QUAND ON SE DONNE

- Francis Martin (1992)
(Luc Plamondon / Francis Martin et M. Provençal)

Il avait la chemise ouverte sur la poitrine glabre et posait un regard qu'il espérait de braise sur "une femme d'expérience" à qui il voulait se donner et "mettre son innocence, dans la balance." On s'étonne que Luc Plamondon n'ait pas eu l'idée de génie de proposer un duo de rêve entre Francis Martin et Dalida. Lui : "Elle avait deux fois mon âge." Elle : "Il venait d'avoir 18 ans". Lui : "Elle m'a fait faire tout un voyage." Elle : "J'ai découvert émerveillée, un ciel superbe." Lui : "Ça s'est passé simplement. Sans faire de sentiments." Elle : "Il ne m'a pas parlé d'amour, il pensait que les mots d'amour sont dérisoires". Lui : "Comme un ange dans la nuit, tu m'as ôté mes langes." Elle : non, ben... là, ça va faire !

2
VIVRE DANS LA NUIT - Nuance (1986)
(Nuance)

Le pire de cette chanson, c'est qu'on ne peut pas l'écouter sans pleurer ! Et pourtant, le texte est incompréhensible - Nuance écrivait en franglais, en bon groupe de l'Outaouais qu'il était - on prétend même que la version originale s'intitulait Vivre en la nuit, traduction littérale de Living In the Night. La musique était incroyablement sirupeuse - oh, tous ces accords trop appuyés de slow poteau cheap. Enfin, la voix de Sandra Dorion était tellement, tellement commune - Sandra elle-même... enfin. Pis on chiâle quand même...

3
ACHY BREAKY DANCE
- Stef Carse (1994)
(Stef Carse / Billy Ray Cyrus)

Il y a quelque chose d'horriblement subliminal dans cette chanson, qu'on se surprend parfois à fredonner malgré tous les efforts de refoulement. Jusqu'aux images du vidéoclip de Stef Carse qui reviennent nous hanter dans nos pires cauchemars : ces braves gens grimés en cow-boys, les deux pouces dans les ganses, se déhanchant lubriquement pour une sorte de set carré "sensuel". C'est à vous dégoûter d'avoir une bonne mémoire ou même une mémoire tout court!

4
LAVEZ, LAVEZ
- Martine St-Clair (1990)
(Pierre Grillet, Marc Lavoine / Pascal Stive, Fabrice Aboulker)

"Lavez, lavez ! Savez-vous savonner ? Lavez, lavez ! Les carreaux, les parquets !" On a creusé pour trouver un deuxième niveau de lecture. Rien. Un troisième? Néant. Un quatrième ? On a abandonné. Après tout, on n'est pas spéléologue ès chanson. Et puis, on est réaliste : s'il a fallu quatre personnes pour accoucher de la chose, il faut peut-être être autant pour la comprendre. Le problème, c'est de trouver des volontaires.

5
PRENDRE LE TEMPS
- Léandre (1990)
(Léandre)

Le problème de Prendre le temps, c'est que personne n'est capable d'en chanter plus que les trois premiers mots ("Preeeeendre le teeeeeeemps", mais que tout le monde les chante sur un ton nasillard (car tout le monde se rappelle les premières notes de la mélodie) et très lentement, comme si le piton du tourne-disque (vous vous souvenez de ce vieil appareil?) était bloqué à 16 tours...

6
ÇA VA BIEN
- Kathleen (1993)
(Jean-Pierre Isaac)

On frissonne encore d'effroi en évoquant cet hymne que la blonde Kathleen, peut-être un peu intoxiquée aux discours du "jovialiste" André Moreau, a entonné pour imposer sa nouvelle bonne humeur dans les chaumières. Qui n'a pas grincé des oreilles à l'écoute du fameux "Ça va bien - ien - ien - ien - même quand il pleut le soleil me tend la main"? Comment garder son calme devant une envolée poétique que même Léandre ne se serait probablement pas permis ?

7
TOURNE LA PAGE
- René et Nathalie Simard (1988)
(R.Musumarra / R. Zanelli / J-M.Moreau)

Ce devait être le grand retour des petits Simard devenus grands. Les chanteurs sur le toit de la Place Ville-Marie, sur les réacteurs d'un avion. On n'avait rien ménagé pour que l'image soit saisissante, mais on avait oublié de changer les coupes de cheveux. Un avion déchire le soir et laisse des traces d'indifférence. On ne saurait mieux dire...

8
LE RAP À BILLY
- Lucien Francoeur (1983)
(Lucien Francoeur / Charles Foucrault)

Visionnaire devant l'Éternel, Lucien Francoeur a concocté son Rap à Billy bien avant que le Québec ne soit sensibilisé à la culture hip hop. Le seul hic, c'est que cette chanson n'avait rien en commun avec toute forme de hip hop. Pas de vrai rythme funk, pas de scratch aux tables tournantes, pas de rimes syncopées, un texte récité par Francoeur, un texte quelconque qui raconte une virée quelconque avec une quelconque Shirley... dont le nom charmant rime bien sûr avec Billy. Notre rockeur sanctifié était fin prêt pour une pub de Burger King !

9
PLEURS DANS LA PLUIE
- Mario Pelchat (1993)
(Eddy Marnay / Diane Warren, Desmond Child)

Bien sûr, il y a le clip en Irlande. Bien sûr, il y a les rimes pleureuses de Marnay. Bien sûr, il y a le ton piteux pitou empesé de Pelchat. Mais il y a pire: claviers cristallins cheap, violons synthétiques, pluie en canne et effets spéciaux donnant l'impression que les choriste sont en train de se noyer. En plus, cette ballade pathétique donne un mauvais exemple aux garçons, leur laissant croire que de faire pitié est une bonne façon de séduire. Rigoureusement faux. Sauf pour les chanteurs de charme.

10
LES CHINOIS
- Mitsou (1988)
(Jean-Pierre Isaac)

Une petite chanson pop sautillante qui dénonçait les amants indifférents au plaisir de leur partenaire, mais qui laissait songeur parce qu'elle répétait constamment : non, c'est pas comme ça qu'on fait l'amour -regarde les Chinois. Les Chinois, maîtres de l'amour physique ? Experts en techniques sexuelles ? Les mêmes Chinois reconnus pour leur puritanisme tout communiste? L'ignorance atteignait son zénith lorsque la chanson se terminait par non, non, non, kama sutra ! C'est pas chinois, le kama sutra, Mitsou, c'est indien.

11
J'VAIS CHANGER LE MONDE
- Jean-François Bastien (2003)
(Stéphane Laporte / Antoine Sicotte, Karl Wolf)

L'intention était louable. Personne, d'ailleurs, n'oserait taxer d'opportunisme la publication d'une chanson pacifiste pendant une guerre. L'irréprochable Lennon l'a déjà fait. Je vais changer le monde copie aussi la principale caractéristique de Give Peace a Chance : un texte simplet comportant quelques lignes répétées ad nauseam. Un an plus tard, la guerre continue... et on n'est juste plus capable de l'entendre.

12
MOI J'MANGE
- Angèle Arsenault (1978)
(Angèle Arsenault)

Ce n'est pas une réponse au Comme la vie me donne faim de la poétesse Kathleen (Ça va bien), mais notre taux de cholestérol s'élève quand même anormalement à la simple écoute de cette petite rengaine. On ne s'est pas encore tout à fait remis des "Arrrrhhhh - Oouuuuh-Oouuuuh !" qui ponctuaient chaque refrain de cette chanson minceur qu'a cuisinée la Bolduc de l'Île-du-Prince-Édouard.

13
MONTRÉAL EST UNE FEMME
- Jean-Pierre Ferland (1992)
(Jean-Pierre Ferland / François Cousineau)

Si les femmes ont inspiré à Ferland quelques-unes de ses plus belles chansons, Montréal est une femme n'est pas du nombre. Une soupe imbuvable de reggae, jazz poche et disco cheapo qui, comme le ferait un mauvais élève de Plamondon, nous apprend que Londres est un homme, New York est un bum. Et Paris un fifi, mon Jay-Pee ?

14
SOIRÉE DE FILLE
- Marie-Chantal Toupin (2003)
(Marie-Chantal Toupin, Claude Sénécal / Marie-Chantal Toupin)

"Je sais que c'est pas facile/ De se sentirrr inutile..." Tant d'aplomb et de "r" bien rrroulés pour des rimes aussi banales ! Pourquoi rock devrait rimer avec vacuité? Marie-Chantal Toupin chante comme Marjo, mais il est difficile de la croire lorsqu'elle joue aux "chanteuses intenses". Surtout lorsqu'elle raconte son histoire insipide de fille qui sort en jeans serrés en ville : C't'un nouveau look que t'as jamais vu/ Fais-toé s'en pas, j'suis pas toute nue-ue-ue !

15
JE DANSE DANS MA TÊTE
- Céline Dion (1991)
(Luc Plamondon / Romano Musumarra)

Je de-de-de-danse dans ma tête. Han, han, han. Allez, avouons-le, nous avons tous eu en tête, une fois au moins, cet air qui se rapproche plus du tic nerveux que de l'air mélodieux. Un hochement de tête et le ver d'oreille disparaîtrait? C'est mal connaître la ténacité de cet acouphène signé Luc Plamondon. Les bègues ont adoré.

16
MA BLONDE M'AIME
- Pierre Bertrand (1983)
(Pierre Bertrand, Robert Léger)

Ma blonde m'aime fait très exactement 5 minutes 7 secondes au compteur. C'est-à-dire au moins quatre minutes de trop. Après la première minute et des poussières, on n'est déjà plus capables du simili-reggae, des claviers fast-food et de l'accumulation de clichés sur le jet set. Si sa blonde l'aime "quand même", c'est qu'elle n'a pas dû entendre cette chanson.

17
SEUL AU COMBAT
- Les BB (1991)
(Geneviève Lapointe / Patrick Bourgeois)

Ceux qui s'en souviennent pensent que cette chanson s'intitule Ton chevalier solitaire ou imaginaire. Les autres ont bien fait d'oublier ce pseudo conte de fées où un castrat se prend pour un preux chevalier et promet de "voler de l'air" pour sa gente demoiselle. Des mots et... du vent.

18
TENDRE FESSE
- Éric Lapointe (1999)
(Éric Lapointe / Éric Lapointe, Stéphane Dufour)

S'il n'y a "rien de plus tendre qu'une paire de fesses", il n'y a rien de plus toton qu'un auteur en rut. Lapointe prouve dans cette toune qu'il peut être plus poche que Roger Tabra.

19
BILLY
- Julie Masse (1990)
(Manuel Tadros / Réjean Lachance et Kevin De Souza)

Flash-back de New York City. Billy, c'est l'histoire d'un New-Yorkais qui a une moto qui craque sur les larmes du ciel. Un grand texte presque bilingue signé Manuel Tadros interprété par celle qui est depuis devenue la choriste préférée de Corey Hart.

20
C'EST PAS PHYSIQUE, C'EST ÉLECTRIQUE
- Robert Charlebois (1985)
(Claude Péloquin, Robert Charlebois)

Tout ce qu'on déteste chez le Charlebois qu'on a longtemps - volontairement - perdu de vue. Un rock corporate typique du milieu des années 80, avec des claviers qui tombent sur le coeur, une guitare qui rageouille et un texte d'une banalité exemplaire. N'en déplaise à Pélo et Charlebois, qui nous ont déjà donné Lindberg, c'est pas physique, ni électrique, c'est juste platte.

21
HEMINGWAY
- Garou (2003)
(Didier Barbelivien)

Leçon de rock littéraire à la Barbelivien : prendre un auteur mythique, citer les titres de deux de ses bouquins les plus connus au refrain, orchestrer des jeux de mots douteux ("conquistadors" et "cons qui s'adorent", fallait y penser) et des rimes hasardeuses (genre : Hemingway et anyway). Un canon qui carbure à la poudre aux yeux.

22
QUÉBÉCOIS
- La Révolution française (1969)
(François Guy, Richard Tate, Angelo Finaldi)

L'exemple parfait de l'hymne opportuniste, racoleur, hyper-naïf, qui se veut rassembleur, mais qui est vide de sens. La musique post-Beatles (fanfare, sirène etc.) est efficace, et des lignes comme N'oubliez pas la Citadelle, aussi belle que la Tour Eiffel nous feraient évidemment frissonner de fierté si on n'avait pas entendu la Révolution française (beau nom tout de même...) récupérer la même toune pompier pour flatter le patriotisme américain (America).

23
CALVAIRE
- La Chicane (1998)
(Boom Desjardins)

Dans mes erreurs les PLUS pires... Il n'y a rien de pire que "pire"! La larmoyante Calvaire (la chanson de La Chicane et non de Plume Latraverse) a mis le groupe de Boom Desjardins sur la carte en 1998. On paye une bière à tous ceux peuvent résumer cette histoire de lendemain de brosse. La recherche de rime à tout prix - J'ai du ressentiment dans l'sang (...) C'est comme de la rage dans une cage - l'a rendue incompréhensible. Un Grévisse en cadeau à Noël ?

24
COMME UN VOYOU
- Claude Dubois (1988)(Claude Dubois)

Dans la catégorie "kessé-ça-veut-dire", rien ne bat ces quelques mots tirés de Comme un voyou : J'ai le goût des mots que ta blonde donne envie d'embrasser. Hein? Pardon? Dans le sens de?

25
ÉCHAPPÉ BELLE
- Beau Dommage (1995)
(Robert Léger / Michel Hinton)

L'hymne effroyable des boomers soulagés et satisfaits, sains et saufs, jouissant de leur sort en se remémorant leur bohème dans un huileux élan de nostalgie.

0 commentaires | vendredi 18 juin 2004

Je suis de ceux qui aime discuter. J'aime partager mes idées, mes points de vues ainsi que mes opinions avec tout le monde. Je trouve ce genre d'activité enrichisante et c'est d'ailleur pour cette raison que j'ai décider de créer ce blog-ci.

Cet envie de partager m'a forcer a découvrir divers forums de discussions. Des endroits ou il est possible de poster des messages, dans diverses catégories et de lire les messages des autres. Ce climat permet le partage d'informations, d'idées, d'opinions et laisse aussi une très large place aux débats enflammés. Mon endroit préféré est le forum RADOTER. Je l'ai d'ailleur ajouter dans mes liens. J'y vais presqu'à tous les jours, sous le nom de Bidule Inutile. Si vous avez envie de venir jaser, cliquer ici.

Dans l'avenir, je vous ferez part des débats intéressants auquels je participe, histoire d'avoir une certaine connexion avec mes lecteurs. Pour commencer ce qui sera peut-être une tradition du barreau d'chaise, voici un lien vers un sujet qui parle de l'homosexualité. Un des membres a lançé ce sujet en mentionnant qu'il y a trop de gais a la télé, qu'ont met trop l'emphase sur eux. Le débat a commencer et la discussion est entré dans la phase de l'interpretation de l'homosexualité, de l'acceptation et des différents points de vues. Assez intéressant. (http://www.radoter.com/viewtopic.php?t=29048)

0 commentaires | mercredi 16 juin 2004

On se rend compte de certaines choses anodines de la vie, lorsque nous nous retrouvons a faire face a ces éléments.

Moi, par exemple, je manque critiquement de sommeil aujourd'hui. Hier, j'ai veiller un peu tard avec un de mes amis. Nous avons regarder, je crois, la moitié de sa vidéothèque, avant de s'endormir sur l'un de ses films.

Ce qui fait qu'en bout de ligne, je me retrouve avec, quoi... 3 heures au maximum de sommeil, dont 1 et demie de réussi et donc réparateur...

Je pense que mon projet de fin de soirée et de lendemain matin est simple... D O R M I R!!!!

0 commentaires | lundi 14 juin 2004

Je ne sais pas trop pourquoi mais depuis quelques jours j'ai seulement envie de voyager. Lorsque le soleil a daigné se pointer le bout du nez ce samedi, j'ai passé la journée a me promener dehors et a profiter de ce beau temps. Que de plaisir. J'ai souvenance que je portais shorts et t-shirt, attirail parfaite du vrai vacancier.

Puis le soir, ma soeur m'a rendue visite. Elle m'a apporté le DVD du film "The Beach" suite a ma demande. Avant de me coucher, je me le suis tapé. Vraiment, ce film, il vous donne seulement le goût de partir, de prendre votre sac a dos et puis de voyager, de vous rendre loin et de ne plus vous poser de questions. Il vous donne l'envie, la piqûre pour les pays éloignés pour les autres cultures et surtout, surtout... Pour les paysages et les visions paradisiaques. L'illusion de l'infinie, du rêve, aussi. Vision de beauté trop belle pour existée...

C'est tout ça que le film vous montre, vous raconte et vous fait croire... Malgré tout, j'ai envie de partir, que ce soir la bas, où ici a des milliers de kilomètres, en voiture... Un road-trip sans connaître le point d'arriver et sans savoir si on reverra le point de départ.

0 commentaires | dimanche 13 juin 2004

L'autre jour, j'attend debout sur le macadam, que l'autobus daigne se pointer le bout de la carlingue histoire de me rendre a mon rendez-vous à la SAAQ. Le soleil plombait, tout le monde s'en foutais. Les gens étaient presser, roulais en malade, klaxonnais au moindre mouvement courraient d'un bord et de l'autre. Personne ne souriait ni ne se regardait. Je trouvais ça vulgaire.

Une femme vint se placer a ma suite dans la ligne d'attente. Elle me regarda, me salua et se mit a me parler du soleil et du beau temps qui commençais a se pointer. La dame était agée, 80-85 ans environ. Des été et des hivers elle en avait vu passer. Mais elle s'est permis quand même de me me parler de ses achats. La dame revenais du marché Jean-Talon et elle avait acheter des poires. Elle les trouvais belles... Elle mes les a montrés, ses 6 fruits, six fruits que la plupart d'entre-vous ne regarde même plus tellement vous êtes habitués de les voires... Mais elle, cette dame plus mûr que ses fruits, avait fait de cet aliment, son petit bonheur quotidien et sans le savoir elle a fait le mien!

0 commentaires | mercredi 9 juin 2004

Salut a tous. Voici mon nouveau Blog. Un second début, un nouveau départ. L'ancien est mort. Vive le nouveau. Si je fonde celui-ci, c'est pour le tenir a jour, au moins de temps a autres, histoire non seulement d'avoir un peu de plaisir, mais de lancer, aussi, tout ce qui me passe par la tête au monde internet. D'ailleurs, si jamais vous avec des questions ou des commentaires, ne vous gênez pas pour me les faires parvenirs. Il y a une option commentaire sous chaque messages, et mon email se trouve a la fin de la colonne de gauche. Donc, bonne visite et bonne continuation...