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1 commentaires | mercredi 29 août 2007

Je regardais des photos.

Des photos qui date d'il y à deux ans environ.

Des photos du temps que j'était Secrétaire Général au sein de l'exécutif de mon association étudiante.

Des photos du temps ou tout le Québec avait déclencher une grève générale illimitée afin de se battre, dans une guerre politique, contre les coupures dans les programmes d'aides financières orchestrées par le gouvernement Libéral en place.

Des tas de souvenirs de ce mois et demie de grève général me sont venus en tête.

Des souvenirs joyeux, d'autres tristes. Mais beaucoup d'images et d'idées.

Je ressent encore ce Québec, cette jeunesse étudiante, debout devant l'évidence même de l'absurdité gouvernementale.

Je ressent encore ce Québec, cette jeunesse étudiante, disant tout simplement non aux menaces lancées par un Ministre de l'éducation qui n'avait jamais eu le contrôle sur la chose.

Je garde en tête un souvenir impérissable, qui me suivras toute ma vie. Que ceux qui me contredise se taises, il est faux de dire que la mobilisation et les revendication majoritairement appuyées ne conduise pas à la victoire.

Ses quelques six semaines m'auront enseignées moins une chose, que l'entêtement et la volonté solidaire peut faire reculer le gouvernement.

Certes, nous n'avons pas tout gagné... Mais nous n'avons pas non plus tout perdus!

0 commentaires | lundi 27 août 2007

Vous avez probablement étés conscient de la crise qui frappe actuellement les bourses internationales, mais principalement américaines?

Sans être un spécialiste de la question, et encore moins un connaisseur économique, je me suis intéressé un peu plus en profondeur à cette question...

Conclusion: Je me paye foutrement la gueule des américains actuellement.

Les grandes lignes du problème concernent la spéculation économique particulièrement consacré au domaine immobilier sont liées en général à la trop grande volonté des "spécialistes" à créer une marge encore plus large de crédit immobilier.

Je tire quelques chiffres de l'édition de Septembre (Numéro 642) du mensuel incontournable Le Monde diplomatique. Frédéric Lordon, économiste, mentionne dans son article titré Quand la finance prend le monde en otage que les créances hypothécaires en circulation aux États-Unis atteindraient environ 1 300 milliards de dollars américain.

1 300 MILLIARDS.

En d'autres mots, cela implique que le crédit immobilier accordé aux acheteurs est immensément trop grand. Toujours selon l'article de M. Lordon, d'un à trois millions d'américain devrons éventuellement vendre leur maison pour faire face aux créanciers.


Comment, je me demande, une population peut elle se placer aussi près du gouffre financier?


Le rêve américain vous connaissez?


Vous savez, le concept que quiconque, uniquement sur la base de sa volonté mais surtout de sa citoyenneté peut obtenir tout le bien et le confort matériel qu'il désire?


La connerie.


Ce « rêve » qui sert bien entendu les directeurs financier et les conseillers des banques à pousser le « petit monde » à dépenser ce qu'ils ne possèdent pas.


Ainsi, bon nombre de personne qui ne peuvent se le permettent ajoute à leur budget une dépense hypothécaire.


Ultimement, le piège à con fonctionne. Les gens s'endettent mais ont une maison. Taxes, et dépenses relatives sont bien appréciés par les administrations des villes. Une maison impliquant toujours des frais afférent.


Mais la culture des avoirs inexistant à toujours son sombre côté.


Les paiements se font attendre et comme le monde ne peut se permettre cette dépenses, les entrées d'argents sont rares aux banques.


Le manque à gagner est encore plus grand et plus le temps avance, plus les sous sont rapidement attendus.


De façon générale, les banques ont fait passés les paiement hypothécaires mensuels moyens de 414 à 691 dollars.


Il n'en faillais pas plus pour que l'ensemble de la structure implantée ne tienne plus trop la route.


C'est bel et bien la mentalité ultra-libérale américaine. Cette mentalité qui prône l'échange entièrement libre des avoirs matériels et financiers sans que la gouvernance du pays n'interfère dans la structure globale de ses échange.


Avec cette méthode on crée une fausse très profonde, avec des rebords tranchants, on y jette les gens et éventuellement on balance quelques lions... Tout en se demandant pourquoi les gens s'y font dévorer et en attendant un God save América d'un Bush faussement émotif.


Comment dit-on déjà? À trop vouloir on perd tout? Je ne sais pas si c'est un vrai dicton, si non, j'en prend les droits d'auteur.

0 commentaires | jeudi 23 août 2007

En surfant sur internet, par tout hasard, comme je le fais à l'occasion, j'ai découvert un site riche en non sens.

Quand on sais pertinemment que l'évolution de l'être humain prend forme dans l'évolution de sa pensée, on se demande comment certaines personnes, voir certains groupes peuvent aisément s'incruster dans une pensée considéré majoritairement comme dépassée.

Et je pèse mes mots.

Prenez par exemple la théorie de l'évolution. Les recherches de Charles Darwin ont portés leurs fruits et aujourd'hui nous savons pertinemment que l'homme n'est pas une création divine composée par Dieu-le-tout-puissant.

Pour moi c'est une évidence. Pour les gens que je fréquente aussi. Mes amis, ma famille... Si je regarde autour de moi, que je me questionne en regard des autres, je ne trouverais pas l'ombre d'un doute envers le travail de Darwin.

Certain groupe eux, croient fermement au Créationnisme.

Ma découverte internet s'inscrit dans la lignée de diffusion de site basé en langage wiki, tout comme l'encyclopédie universelle en ligne Wikipédia. Par contre, elle désire palier un manque de jugement dans ce que le fondateur de cette "encyclopédie" qualifie de visions "Antiaméricaines et antichrétiennes"

Prenez note que l'homme derrière tout cela est Andrew Schlafly. Son site internet borné sur les fondés cléricales pro-américaine s'intitule Conservapédia.

En fouinant un peu sur le site, si vous comprenez l'anglais, vous comprendrez la frustration derrière la découverte de ses pensées.

Si l'on prend par exemple un sujet commun et contemporain. L'homosexualité! Même si les préjugés sont encore chose courante, l'homme à généralement évolué en regarde de cette question, passant généralement du qualificatif de déviance sexuelle à celui d'orientation sexuelle. Visiter cette section du site http://www.conservapedia.com/Homosexual et vous comprendrez un peu plus ma surprise et ma colère.

J'ai l'impression d'entendre le pape Benoît XIV parlez du condom, mentionnant que ce dernier est un fléau pour l'humanité et qu'il est peiné d'en apprendre l'usage commun. Il ne traite surtout par du fléau qu'est le sida en Afrique par exemple, et que le condom, empêche la transmission jusqu'à un certain point.

Cette pensée cléricale qui veut assouvir l'homme aux bons désir de Dieu et aux texte flous et archaïques de la Bible ou du Nouveau Testament.

Cette Amérique conservatrice, qui n'innove en rien, sauf peut-être par les moyen de diffusion qui sont désormais multimédias (internet entre autres).

Ça me fais penser à un groupe biblique, dont la promotion était fait au sein de mon collège et qui vantais des idées ultra-conservatrice. Ce groupe scandais haut et fort que l'homosexualité était une preuve de la présence du diable au sein de son corps.

Belle évolution...

1 commentaires | dimanche 12 août 2007

Je dois récupérer mon horaire de cours sur un service informatisé disponible sur internet.

Mais voilà que depuis la date et l'heure déterminé par les dirigeants de l'institution, c'est-à-dire le samedi 11 août dès 8h00, je suis tout simplement incapable de faire cela.

Après avoir contacter à deux reprises le service technique qui gère bien mal cette technique dysfonctionnelle, je ne suis toujours pas capable de faire quoi que ce soit.

Ce matin, j'appelle l'institution d'enseignement, demande via la sélection clavier le poste du service technique et discute avec le responsable.

Après avoir raconter le problème, on me transfère au régistrariat, histoire que je me choque réellement.
Je raconte encore le tout et on me répète que ce sont des problèmes normaux, que cela arrive, que l'informatique n'est jamais aussi fiable que l'humain, etc...

Je me demande alors pourquoi tout ce beau monde qui est humain passe à l'ère techno ??!?

Aboutissement de la frustration, on m'informe que c'est ma faute, parcequ'apparemment, je n'aurais jamais fait mon choix de cours ou ma réinscription. Je mentionne a l'imbécile au téléphone que oui, j'ai fait les deux, que je possède la copie de paiement de ma session (réinscription) et que malheureusement on ne peut pas imprimet de papier officialisant le choix de cours.

Il me transfert alors à quelqu'un d'autre... On me répète que ce sont des troubles normaux, que tout cela arrivent... Que c'est normal en début de session... Cette tierce personne m'annonce alors que cette procédure est normal, que lorsqu'on est en fin d'études et qu'il reste quelques cours à faire, comme dans mon cas, je dois rencontrer un responsable pédagogique de programme pour m'aider à faire mon choix de cours...

Je lui dit donc que tout au long de ma formation, de l'état d'étudiant néofit jusqu'au stade d'has been finit, je n'ai jamais eu de l'aide dans mon choix de cours... Pourquoi là maintenant, en fin d'études...

Apparemment, c'est normal, m'a t'on dit, encore !!!

Mon horaire n'existe donc pas. Mais c'est ma faute. On m'a dit que normalement c'était inscrit sur le site qui marche mal. Moi j'ai jamais vu ca. On m'a dit qu'on envoyais un message en alerte. Rien eu de cela non plus. On m'a dit que c'était normal, que ca arrivais des fois... Que la technologie c'était ça des fois...

Donc demain matin je vais devoir aller à l'école, rencontrer cet aide pédagogique de programme. Mais pas ce matin, il y a trop de monde m'a t'on dit. La dernière personne à qui j'ai parlé m'a dit d'arriver tôt, parceque ces temps-ci les API (aide pédagogiques) sont beaucoup pris pour régler les problèmes d'horaires...

Apparemment que c'est normal tout cela... Que ça arrive... Ca fait ça des fois l'informatique...

0 commentaires | vendredi 10 août 2007

Je fréquente régulière Hors Champ un site profondément dévoué au cinéma.

Voici une liste de films qu'ils conseillent de voir !!!

Source: http://www.horschamp.qc.ca/article.php3?id_article=104

NOTE: JE RECOMMANDE PERSONNELLEMENT CEUX EN ROUGE

Satantango, Béla Tarr, Hongrie - Allemagne - Suisse, 1994

Vive l'amour, Tsai Ming-liang, Taiwan, 1994

Le ballon blanc, Jafar Panahi, Iran, 1995

Amsterdam Global Village, Johan Van der Keuken, Pays-Bas, 1996

La promesse, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Belgique - France - Luxembourg, 1996 (Entretien avec Luc et Jean-Pierre Dardenne)

Sunday, Jonathan Nossiter, États-Unis, 1997 (Entretien avec Jonathan Nossiter)

Mère et fils, Alexandre Sokurov, Russie - Allemagne, 1997

Kasaba, Nuri Bilge Ceylan, Turkie, 1997 (Regrets, rêves, orgeuil et solitude (sur le film Uzak, de Ceylan))

Le goût de la cerise, Abbas Kiarostami, 1997 (Une discussion avec l'artiste : Abbas Kiarostami)

La pomme, Samira Makhmalbaf, Iran - France, 1998

Histoire(s) du cinéma, Jean-Luc Godard, France, 1998

Le trou, Tsai Ming-Liang, Taiwan - France, 1998 (Tsai Ming-Liang : notes brodées autour de Quelle heure est-il là-bas ?)

La classe de neige, Claude Miller, France, 1998

Kikujiro, Takeshi Kitano, Japon,1999

L'empereur et l'assassin, Chen Kaige, Chine - France - Japon, 1999

Eyes wide shut, Stanley Kubrick, États-Unis - Angleterre, 1999 (Autour du couple)

Rosetta, Luc et Jean-Pierre Dardenne, Belgique, 1999 (Entretien avec Luc et Jean-Pierre Dardenne)

L'humanité, Bruno Dumont, France, 1999

Nuages de mai, Nuri Bilge Ceylan, Turquie, 1999 (Regrets, rêves, orgeuil et solitude (sur le film Uzak))

Signs and Wonders, Jonathan Nossiter, France, 2000 (Entretien avec Jonathan Nossiter)

Before Night Falls, Julian Schnabel, États-Unis, 2000

Code inconnu, Michael Haneke, France - Allemagne - Roumanie, 2000 (Hanté par Code inconnu : Palimpsestes / L'art de susciter la fausse note (sur le film La pianiste))

As I Was Moving Ahead Occasionally I Saw Brief Glimpses of Beauty, Jonas Mekas, États-Unis, 2000

Harmonies de Werckmeister, Béla Tarr, Hongrie-Italie-Allemagne-France, 2000

Éloge de l'amour, Jean-Luc Godard, France - Suisse, 2001

DVD "By Brakhage : An Anthology", 26 films de Stan Brakhage, États-Unis, 2001 (Hors Champ invite Brakhage à Montréal / Hommage à Stan Brakhage 1933-2003 (et d'autres liens))

Decasia, Bill Morrison, Etats-Unis, 2001 (Les films de Bill Morrison)

Yellowknife, Rodrigue Jean, Québec, 2001 (La route désenchantée)

Je rentre à la maison, Manoel de Oliveira, France-Portugal, 2001 (Les cercles et la mort)

Gerry, Gus Van Sant, États-Unis, 2002 (Harris Savides, directeur de la photographie)

Le fils, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Belgique - France, 2002 (Entretien avec Luc et Jean-Pierre Dardenne)

Japòn, Carlos Reygadas, Mexique - Espagne, 2002

Uzak, Nuri Bilge Ceylan, Turquie, 2003 (Regrets, rêves, orgeuil et solitude)

Café Lumière, Hou Hsiao-Hsien, Japon-Taiwan, 2003

À l'ouest des rails, Wang Bing, Chine, 2003

Saraband, Ingmar Bergman, Suède, 2003

Elephant, Gus Van Sant, Etats-Unis, 2003

Mon ami Michel, Jean Pierre Lefebvre, Québec, 2004

Triple agent, Éric Rohmer, France, 2004

Birth, Jonathan Glazer, États-Unis, 2004 (Naissance et deuil, amour et mort)

La vie est un miracle, Emir Kusturica, Serbie - France, 2004 (Le retour de Kusturica)

Fahrenheit 9/11, Michael Moore, États-Unis, 2004 (Moore, Orwell et Keynes)

Mondovino, Jonathan Nossiter, États-Unis - France - Argentine - Italie, 2004

Notre musique, Jean-Luc Godard, France-Suisse, 2004

The World, Jia Zhang-ke, Chine-Japon-France, 2004

Solnste/The Sun, Alexander Sokourov, Russie-France-Italie-Suisse, 2005

Grizzly Man, Werner Herzog, États-Unis, 2005 (Entretien : sur le sentier de Werner Herzog / Herzog : l'image qui marque)

The New World Terrence Malick, 2005(Retrouver la sensation)

Les amants réguliers, Philippe Garrel, France, 2005

Last Days, Gus Van Sant, États-Unis, 2005

La neuvaine, Bernard Émond, Québec, 2005

A History of Violence David Cronenberg, États-Unis, 2005 (L'histoire d'un leurre)

Petit Pow Pow Noël, Robert Morin, Québec, 2005 (Entretien avec Robert Morin (1998) / Toujours plus distincts, toujours plus flous (sur le film Le Nèg'))

Munich, Steven Spielberg, États-Unis, 2005 (La figure du questionnement)

Junebug, Phil Morrison, États-Unis, 2005

Match point, Woody Allen, Angleterre - États-Unis - Luxembourg, 2005 (Entre crime et châtiment)





0 commentaires | jeudi 9 août 2007

J'ai pris une décision dans ma vie, il y à déjà pas mal longtemps. Celle de faire du cinéma, d'écrire et de réaliser mes propres "vues" comme le disais si bien ma prof Mireille Lafrance.

Par contre ce métier présente une facette très difficile à accepter; la critique. Je n'ai jamais eu à faire face à un refus de passer mes trucs, ni une critique négative promptement expliquée sur mes oeuvres. Au contraire, j'ai plutôt été assez gâté.

Ce soir, il y à de ça quelques minutes, j'ai reçu une réponse négative d'un festival.

Ce qu'il faut comprendre, c'est que ce métier demande que l'on soumette ses films dans divers festivals, histoire de se promener avec notre "vue" et de la faire voir.

Le festival en question, je ne le nommerai pas. C'est un festival important en ce qui concerne les courts métrages au Québec.

J'ai reçu un courriel expliquant le refus de mon film avec comme seul explication:
« Film à message (il ne faut pas polluer), Changer
d'air présente un cadrage inadéquat et un mauvais son.
Le personnage du docteur s'avère peu crédible, puisque
joué de façon robotique. Le films présente des longueurs,
une musique agaçante et une conclusion banale et prévisible.
Toutefois, l'idée de départ est intéressante et le scénario
présente des avenues originales. Enfin, l'interprétation
des acteurs principaux est très correcte. »


Disons que c'est dur à avaler quand on croit fortement à ce que l'on fait. Mais comme je l'ai déjà dit, c'est le métier qui est comme ça et des gens qui n'aimerons pas mes "vues" il y en auras d'autres.

Le plus dur de tout cela, c'est la partie de nous-même, souvent émotivement extériorisée et bien pesante, que l'on garoche les yeux fermés au coeur de notre oeuvre... Poignarder mon film, c'est me poignarder moi-même...

Demain, je vais aller mieux !!!

0 commentaires | mercredi 8 août 2007

J'ai le goût de partager avec vous quelques titres de films québécois qu'il faut absolument voir, un jour ou l'autre.


La liste qui suis n'a pas d'ordre précis, elle n'est pas non plus exhaustive. Elle n'est qu'une suite de films que je conseille à tous.

:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::

Un zoo la nuit, Jean-Claude Lauzon (1987)

Résumé: Un homme sortant de prison (Marcel) vit des problème affectifs. Étant pris en chasse par deux policiers verreux et corompus, tenteras de leur fuirs tout en étant aux côté de son père (Albert) durant les derniers moments de sa vie.




C.R.A.Z.Y., Jean-Marc Vallée (2005)

Résumé: Un portrait de famille qui dépeint la vie souvent extraordinaire de gens ordinaires à la poursuite de leur bonheur.

De 1960 à 1980, entouré de ses quatre frères, de Pink Floyd, des Rolling Stones et de David Bowie, entre les promenades en moto

pour impressionner les filles, les pétards fumés en cachette, les petites et grandes disputes et, surtout, un père qu'il cherche désespérément à
retrouver, Zac nous raconte son histoire...
25 décembr
e 1960 : Zachary Beaulieu vient au monde entre une mère aimante et un père un peu bourru mais fier de ses garçons.
C'est le début
de C.R.A.Z.Y., le récit de la vie d'un petit garçon puis d'un
jeune homme pas comme les autres, qui va jusqu'à renier sa nature profonde pour attirer l'attention de son père.



Congorama, Philippe Falardeau (2007)

Résumé: Michel, fils d'écrivain paralysé, mari d'une Congolaise réfugiée et père d'un futur champion de tennis, est un inventeur belge erratique incomp ris de son employeur. À l'âge de 41 ans, il apprend qu'il est adopté et qu'il est né clandestin ement dans une grange au Québec, à Sainte-Cécile.


À l'été de l'an 2000, Michel se rend à Sainte-Cécile, village banal qui lui donne vite le mal du pays. Là-bas, il croise un homme au volant d’une voiture électrique hybride an achronique. Sur la route qui les ramène à Montréal, un accident changera leur vie ainsi que l’avenir de l’industrie automobile.

Bienvenue dans le Congorama.

Mon Oncle Antoine, Claude Jutra (1971)

Résumé:
Ce film, dont l'action remonte aux environs de 1940, reconstitue l'atmosphère qui régnait dans une petite ville minière du Québec, la veille de Noël, seul jour de l'année où les usines fermaient leurs portes. Insou ciante pour quelques heures, la population, rassemblée au magasin général, oublie sa pauvreté et s e livre à la joie des Fêtes. Aux aguets, un garçon de quinze ans, attentif aux conversations et gestes de ses aînés, découvre à travers les êtres qui l'entourent l'univers des adultes, le monde des sensations et sa rudesse, celui de la souffrance et des petites folies auxquelles on se raccroche et qui prennent, pour un instant, l'air du bonheur.


Réjeanne Padovani, Denys Arcand (1973)

Résumé:
À la veille de l'inauguration d'une autoroute dont ils ont orchest ré la construction, quelques politiciens sans scrupule se réunissent dans la demeure d'un parrain de la mafia, Vincent Padovani, pour célébrer l'événement. Tandis qu'ils échangent compliments hypocrites et blagues douteuses autour d'un repas bien arrosé, leurs hommes de mains et leurs gardes du corps discutent, boivent et jouent au sous-sol en attendant la fin de la soirée. C'est à l'extérieur de la luxueuse demeure que se trame le drame qui viendra gâcher l'atmosphère de cette petite rencontre entre amis : de retour des États-Unis, la femme de Padovani, Réjeanne, désire renouer avec son mari qu'elle avait abandonné quelques anné es plus tôt pour un rival juif. Ailleurs dans la ville, de jeunes militants préparent une manifestation pour protester contre les expropriations massives ayant découlé de la construction de l'autoroute.


Les Ordres, Michel Breault (1974)

Résumé:
En octobre 1970, suite aux revendications et actes terroristes du Front de libération du Québec (FLQ), le gouvernement canadien adopte la Loi des mesures de guerre pour rétablir la loi et l'ordre. Cet mesure mènera à l'arrestation arbitraire d'environ 500 personnes, contre lesquelles aucune accusation ne sera portée. Le film suit cinq personnages fictifs durant cet épisode de l'histoire québécoise.

Octobre, Pierre Falardeau (1994)

Résumé:
En plein coeur de la crise d'Octobre de 70, les quatre felquistes de la cellule Chénier enlèvent le ministre du Travail et de l'Immigration Pierre Laporte, afin de forcer le gouvernement à négocier la libération des prisonniers politiques du FLQ. Pendant une semaine, heures après heures, jour après jour, les quatres hommes de la maison de la rue Armstrong écrivent l'histoire et changeront à jamais le visage politique du Québec et la portée du mouvement souverainiste québecois, autant sur la scène nationale qu'internationale. On vit avec les cinq hommes qui, acculés au mur par le pouvoir, piégés par l'implacable logique des événements, emportés par le poids des choses, l'un après l'autre, affrontent leur destin. À l'issue d'une semaine de séquestration, le destin se jouera pour le ministre et les felquistes. Une fin tant tragique qu'héroïque. Une mort nécessaire et injustifiable... En effet, la police retrouve le corps du ministre dans le coffre arrière d'une automobile. Que s'est-il passé?


15 février 1839, Pierre Falardeau (2001)

Résumé:
Au lendemain de l'insurrection de 1837, huit cents patriotes sont enfermés à la prison de Montréal. Parmi eux, une centaine de condamnés à mort. Au petit matin du 14 février 1839, Marie-Thomas Chevalier De Lorimier et Charles Hindeland apprennent qu'ils seront pendus le lendemain. Le film raconte les vingt-quatre dernières heures des deux hommes, entourés de leurs compagnons. Voici leurs doutes, leurs peurs et leurs espoirs. Pris dans une mécanique sans pitié, ils affrontent la mort. C'est leur seule certitude.


Les bons débarras, Francis Makiewicz (1980)

Résumé:
Manon est une fillette à mi-chemin entre l'adolescence et l'enfance. Elle vit, dans une maison éloignée des Laurentides, seule avec sa mère. Sa première crise d'ado la fait alors bouillir d'un amour possessif pour celle-ci. Tout lui semble donc légitime pour éloigner son oncle Ti-Guy, simple d'esprit ou le policier, amant de sa mère, de l’entourage.


Pour la suite du monde, Michel Breault, Marcel Carrière et Pierre Perreault (1963)

Résumé:
Ce film a été entrepris dans un esprit de recherche et d'exploration qui contribuera à renouveler le cinéma documentaire.
Les cinéastes ont voulu capter, par l'image et le son, deux témoignages ancestraux sur la vie des habitants de l'Isle-aux-Coudres : tout d'abord la langue, verte et dure, toujours éloquente, puis la légendaire pêche au marsouin, travail en mer gouverné par la lune et les marées.
Par la vertu du langage se dessine ainsi la trame d'un quotidien imprégné du culte de la nature et d'un sens poussé des traditions. Entre discussions et palabres, au gré des conflits qui opposent parfois les jeunes aux vieux, les saisons se succèdent pour une communauté fortement attachée aux traces qu'elle laissera... pour la suite du monde.

:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::

Je risque éventuellement d'ajouter d'autres films. Bon visionnement !!!

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Comme tout le monde en parle, que cette nouvelle est au coeur de l'actualité québécoise depuis quelques jours et qu'on demande de part et d'autres à tous les citoyen d'aider les recherches, je me suis dit qu'un message posté sur mon blog ne prenais que quelques minutes à faire et qu'il aiderait peut-être éventuellement d'une quelconque façon les recherches...

Si vous êtes plus ou moins au courant de l'actualité, vous avez devinés que je parle de la disparition de Cédrika Provencher, la petite Trifluvienne que tout le monde recherche.

Une certaine psychose semble avoir pris les citoyens de Trois-Rivière. Les parents sont sur le mode surprotection, ce qui est compréhensible étant donné la situation. Apparement, les parc et airs de jeu son vide d'enfants. Les parents les cloitres chez eux de peur que le présumé prédateur sexuel soit encore actif et à la recherche d'une nouvelle victime.

D'une autre côté des gens parle de l'espoir de la retrouver vivante. Mais avec les histoires comme celle de Julie Surprenant, disparue depuis de nombreuses années, ont se doute que le sort de la petite Provencher pourrait être le même.

Je vais donc donner ici bas les différentes coordonnées pour contacter les enquêteurs et remettre des informations...


Nom: Provencher
Prénom: Cédrika
Cheveux: Bruns avec reflets roux
Taille: 5 pieds (1,52m)
Détail: Elle portait une robe vert lime et des sandales de plage.

Pour contacter les enquêteurs 24H/24H:
1-800-659-4264

Visiter le site internet:
http://www.cedrika.com


Je souhaite de tout coeur que votre enfant vous reviennent...

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Hier j'ai omis d'écrire. En fait j'ai passer la journée ainsi que la soirée hors de la maison. Le boulot de jour et l'improvisation de soir.

Je joue depuis quelques années déjà dans divers ligues d'improvisation à Montréal. J'aime ce médium de création qui permet de contrer les barrières pour laisser toute la place à l'imaginaire, aux personnages et à l'histoire.

L'improvisation c'est une activité qui permet au joueur d'être auteur, acteur, metteur en scène et scénographe tout à la fois. C'est un moyen d'expression ou il y à très peu de contraintes... Sauf les catégories des cartes.

Le mardi soir, je joue dans la ligue amical Les Pantoufles. Nous avons élus domicile chez L'inspecteur Épingle un petit bar sympatique au coin de Duluth et St-Hubert, tout près du métro Sherbrooke. C'est une ligue toute simple, qui n'est pas prétentieuse. Amicale, on y joue entièrement libre, simplement pour le plaisir. Certains joueurs ont beaucoup d'expérience, d'autre très peur et certains pas du tout. L'important c'est d'avoir du plaisir et aussi de donner un bon spectacle, aux gens venus nous voir.

La saison se termine bientôt, la semaine prochaine nous présentons la première demie-finale, opposant les Turquoises aux Jaunes. La semaine suivante, la seconde demie-finale mettras en vedette les Verts aux Rouges.

Je fait partis des Verts... Une très belle équipe.

Je vous invites à venir voir les dernier matchs de l'été...

Le lien: http://www.lespantoufles.qc.ca

0 commentaires | lundi 6 août 2007

Le monde de la bande dessinée en est un assez riche. Vous y trouvez de tout pour tout le monde...

Un maison d'édition affiliée aux 400 coups publient des auteurs québécois depuis quelques années déjà. Son nom? Mécanique générale.

Cette maison d'édition qui se qualifie elle-même "d'écurie" publient des auteurs tels que Jimmy Beaulieu, Edmond Beaudoin, Pishier, Leif Tande, Sébastien Trahan et David Turgeon.

Je vous invites à découvrir ses albums qui sont différents et remplis de belles surprises...

De la bonne bd... Juste pour le plaisir !

Le lien: http://www.mecaniquegenerale.org

0 commentaires | dimanche 5 août 2007

1960 au Québec. La grande noirceur reste bien implanter dans le monde du cinéma. Aucun film n'est diffusé s'il ne passe pas sous les ciseaux du comité de censure. Fortement clérical, ce comité coupe tous les passages jugé non moral ou allant à l'encontre de la bible et des doctrines religieuses. À la limitte le film n'est tout simplement pas diffusé.

L'émission Tout le monde en parlais qui traite des grand scandales ou des histoires relevée qui se sont déroulées au Québec fait état de cette période sombre pour le 7e art.

Pour des informations complémentaires et pour obtenir l'horaire de diffusion: http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lemondeparlait

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Je tiens la cadence jusqu'à maintenant, au moins un message sur ce blogue à tous les jours depuis son ouverture... En souhaitant que ça tienne le coup !!!

J'ai un trésor à partager avec vous.

Une amie à moi tiens un blogue artistique sur son travail. Elle est photographe et graphiste. Elle à un oeil fin et libre pour le design et le visuel. Ses composition artistiques et photographiques allient plusieurs médiums et techniques en plus d'êtres riches en sens et en valeur.

J'aime beaucoup ce qu'elle fait. Je visite son univers quotidiennement en l'attente d'une nouveauté.

J'ai déjà réservé ma place pour une scéance de photo avec elle... J'ai hâte de voir le résultat. Ses photos évoquent toujours beaucoup de lieux et d'images, même s'il s'agit d'un portrait.

La Maline et ses lubies, c'est le titre du blogue. Cette maline est talentueuse, vraiment !!!

Le lien: http://malineetlubies.free.fr

0 commentaires | samedi 4 août 2007

Le titre dit tout. Ses deux grands du cinéma sont disparus récemment. Je suis tombé durant une visite du site Cyberpresse.ca, sur un quizz traitant de ses deux grands hommes du 7e art...

Voici le lien: http://quiz.cyberpresse.ca/quiz.php?quiz=511

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Êtes-vous allés au cinéma dernièrement? Moi oui. Une ou deux fois, récemment. J'ai donc eu le déplaisir de voir les publicités de mauvais goût orchestrées par Le Lait pour promouvoir le lait au chocolat et les plaisirs qui s'y rattachent.

Le concept est simple. Trop simplet d'ailleurs. Tellement, que l'ensemble frise l'imbécile. Deux personnages animés, nommés Léo et Choc, se massacrent l'un l'autre pour le plaisir de se mélanger !!!

En gros, c'est une copie plus ou moins réussie du dessin animé inclus au coeur de la série télévisée The Simpsons "Itchy and Scratchy" vous savez, le chat et la souris qui s'entretuent... Avec en moins la notion de volonté critique!!!

C'est laid, en plus d'être lait, imbécile et déplaisant...

Mais ça semble être une mode. Si vous êtes comme moi et que vous aimez changer les postes de télévision très souvent, vous êtes probablement tombé sur le canal Vrak TV qui présente un interlude animé avec deux extra-terrestres qui s'amuse à s'exploser l'un l'autre, avec de long gliclages de sang vert. Le tout en riant à gorge déployés...

Je ne sais pas trop... Il me semble que le plus vorace qui nous étaient présentés quand j'était gamin c'était les Animals Tracks au Canal famille qui projettaient en très gros plan la vie de certains insectes...

Est-ce que la violence est rendue autant dénaturée qu'elle est rigolote et permet de vendre... Du lait au chocolat?

Pour les intéressés: http://www.leoetchoc.com

0 commentaires | vendredi 3 août 2007

Pour ceux qui ne savent pas, je suis un cinéphile passionné. Je me prend aussi pour un cinéaste.

Mon plus récent court métrage, dont la pré-production, le tournage ainsi que la post-production ce sont échellonnés de janvier à mai, s'intitule "Changer d'air".

Il à été présenté en grande première au festival Images en tête, au cinéma Beaubien. Ce fut le film primé de la soirée, remportant non seulement le grand prix du jury mais aussi le prix coup de coeur du public...

Comme le milieu du cinéma au Québec est ce qu'il est, je me dois donc de tenter ma chance dans des festivals. Ainsi, je peut faire connaître mon film et éventuellement faire parler de moi. C'est donc une étape ou je remplis formulaires par dessus formulaires et que je vais au bureau de poste faire estampiller mes enveloppes. Enveloppes contenant non seulement le formulaires mais aussi une copie du film et dépendamment du festival, quelques fois, d'autres informations.

C'est donc comme cela que j'ai été accepté dans quelques festivals.

  • Festival Images en tête / 21 mai 2007
  • Festival intercollégial du cinéma étudiant / 15e édition / 8, 9, 10 juin 2007
  • Festival des Films du monde de Saint-Armand / 3e édition / http://fefimosa.ca/
  • Festival de court métrages en plein air NeatWorks / 10 et 11 août 2007 / http://www.goneatworks.com/festival/
Je vous invite donc à venir dans ses festivals... Pour voir mon film mais aussi et surtout tout ce qui se fait de bon comme cinéma au Québec. N'oublier pas que les films les plus populaires, les fameux "Blockbuster", qu'ils soient québécois ou provenant d'ailleurs, ne sont pas nécessairement les meilleurs films. Au contraire, il s'agit tropo souvent des films dans lequel il y à eu le plus d'argent et ont chercher arbitrairement à rentabiliser cet investissement.

Au contraire, certains cinéastes québécois tournent souvent sans le sous ou à même leur poche (comme je le fait présentement pour mes projets).

Je pense qu'il est important d"encourager l'art sous toutes ses formes. Étant moi-même un créateur, dans le domaine du cinéma, je vais défendre haut et fort ce médium et ses artistes.

Voici donc un petit descriptif accompagné d'une photo de mon dernier film!
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Changer d'air (2007)

Réalisation & scénario: Jonathan Bolduc, Dhanaé Audet-Beaulieu et Louis Jr Roy
Mise en scène: Dhanaé Audet-Beaulieu & Jonathan Bolduc
Direction photo: Jonathan Bolduc
Montage: Louis Jr Roy
Conception sonore: Louis Jr Roy
Musique Originale: Guillaume Julien
Interprétation: Dhanaé Audet-Beaulieu, Sylvie Legault et Daniel Savoie.

Résumé: Qu’arrive-t-il lorsque nos repères s’effacent, lorsque notre univers glisse sous nos pieds, lorsque nous devenons étrangers à nous-mêmes? Connaissez-vous le syndrome de l’Axolotl? Et si, demain matin, vous vous réveilliez avec des branchies?

0 commentaires | jeudi 2 août 2007



Un ami à moi s'en va au Kenya, en Afrique. Il y va pour un stage, quelque chose du genre. Ça fait un bon bout de temps qu'il en parle et qu'il en rêve. Étudiant à Concordia, la direction de l'institution à bel et bien faillit lui faire raté son voyage. Il décole du Canada mercredi prochain, pour un long périple de trois mois. Avant de partir, vaccins et préparation. Tout ça est bien coûteux.
Il raconte l'ensemble de ses préparatifs et présenteras des récits de voyages tout au long de son séjour sur le blog qu'il vient de créer pour l'occasion.

Je partage ce petit moment avec vous, simplement par curiosité commune... Mais aussi parce que l'Afrique, c'est fascinant !!!

Café Kenya: http://nairobi.ereinach.net/

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Le festival des films de Venise, par l'entremise de son directeur; Daniel Cassagrande vient d'annoncer la mise en place d'un nouveau prix au sein de leur compétition cinématographique.

Le Gai Lion ou Queer Lion, en anglais, honoreras un film dont le thème ou le sujet est en rapport avec le monde homosexuel ou un personnage gai. Ce prix, qui est une forme différent du grand prix du festival le Lion d'Or.

Cette innitiative à déjà été pris par un autre festival, celui de Berlin, qui remet depuis 21 ans un prix similaire.

Est-ce normal que si peut de festivals remettent un prix de la sorte, alors que l'on sait que le cinéma laisse une place de plus en plus grande désormais au cinéma gai.

Regardons simplement les grands festivals internationaux, ou ceux qui nous entourent au Québec. Bien peut font un état des choses aussi fort.

(Source)

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Je faisais une ronde sur des sites d'actualités comme tous les jours. Uniquement par soif de nouvelles...

J'apprend qu'un site internet, dont on ne mentionne pas l'adresse, est en fait un guide de faveur et des meilleurs lieux pour les pédophiles. Sur ce site, on fait les louanges de certains événements publics, gratuits ou payants, qui rassemblent spontanément bon nombre d'enfants.

Par exemple, sur ce site qui est éditer en provenance d'Amsterdam, on suggère à des Pédotouristes des visites dans diverses villes internationales dont Toronto et Montréal. En outre on propose aux détraqués voyageurs en soif de bassesses sexuelles de visiter La fête des enfants de Montréal, en mentionnant de prendre le temps de regarder les très nombreuses fillettes qui s'y trouve, surtout lorsqu'elles portent des robes ou des jupes.

Est-ce seulement moi ou le mal de coeur me prend à ce moment précis. Il me semble, spontanément que rien dans cela n'est normal...

Apparemment que depuis la publication de cette nouvelle, la police de la ville de Montréal fait enquête...

Je trouve cela inquiétant, sutout que sur le site internet de l'événement, il y a un endroit pour souscrire comme bénévole...

Je ne sais plus trop quoi dire à ce sujet, outre que le monde est malade et que je ne sais plus trop quoi penser...

Rassurer moi SVP, lecteurs... Est-ce que nous somme détraqués ou bien ce sont eux qui le sont !!!

Je vous donne aussi à titre d'information complémentaire l'adresse d'un site internet ou il est possible de dénoncer anonymement des pratiques douteuses sur internet. C'est à nous, internaute de faire le ménage sur la toile. Prenons donc notre responsabilité d'utilisateur en main. (http://www.cyberaide.ca/fr/cybertip/)

0 commentaires | mercredi 1 août 2007

Comme je suis du genre à ne jamais rien foutre à la poubelle (parlez-en à ma copine) j'ai pris l'innitiative de transférer tous les messages de mon ancien blog. Vous aurez donc le loisir ou non (avec raison) de lire toute la merde que j'ai écrite en 2004 et 2005 alors que j'était plus jeune, que je n'avais rien d'intéressant à dire, que je faisais de la bande dessinée et que je n'avais pas encore commencé le CÉGEP...

Plus ca change...

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J'ai souvenance, il y à quelques mois, lorsque le viaduc de la Concorde est tombé à Laval, de la colère de certaines personnes. Peine, incompréhension et véhémence envers l'accident lui-même, mais aussi (et surtout) envers les responsables potentiel de cette chute, de ce drame.
Comme on le sait, il faut toujours un coupable. Pour tout. La commission Johnson, dirigé théâtralement par l'ex premier ministre du Québec et ex chef du Parti Québécois, Pierre-Marc Johnson (le frère de Daniel Jr et le fils de Daniel) à permis de mettre la lumière sur des fonctionnaires et des ingénieurs qui n'ont pas été professionnels sur toute la ligne.
Je me souviens aussi d'avoir entendu sur des lignes ouvertes dans les sections "Lettres ouvertes" des journaux des gens dires que c'était le système québécois qui était en faute... Que sans notre habitude supposément encrée dans nos moeurs de tout faire de travers, cela ne serai tout simplement pas arrivé.

Alors que je me demandais si c'était réellement nous et notre système québécois qui était merdique, je tombe sur un site d'actualité que je fréquente quotidiennement, www.cyberpresse.ca, et je voit une nouvelle...
Un pont tombe à Minneapolis. Un pont. Pas un viaduc. Alors je me dis, comme ça. Est-ce que les américain vont chier sur l'administration de la ville ou de l'État, cherchant un coupable et dire que c'est uniquement dans ce coin du monde que l'on voit cela... Je ne sais pas...

Peut être est-ce typiquement québécois, cette mentalité de mitaine, de tout généraliser et de se dire que c'est pas incompétence globale que nous vivons des drame. C'est probablement une habitude de se battrent entre nous contre nous au lieu de régler les problème par eux-mêmes... Vous n'avez qu'à regarder le traitement envers un joueur du Canadien de Montréal qui vient de Chicoutimi et un autre qui vient de Budapest...

Peut-être est-ce typiquement québécois l'autodestruction, comme le sirop d'érable, les Cowboy Fringants et la bière Laurentide!