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0 commentaires | lundi 27 août 2007

Vous avez probablement étés conscient de la crise qui frappe actuellement les bourses internationales, mais principalement américaines?

Sans être un spécialiste de la question, et encore moins un connaisseur économique, je me suis intéressé un peu plus en profondeur à cette question...

Conclusion: Je me paye foutrement la gueule des américains actuellement.

Les grandes lignes du problème concernent la spéculation économique particulièrement consacré au domaine immobilier sont liées en général à la trop grande volonté des "spécialistes" à créer une marge encore plus large de crédit immobilier.

Je tire quelques chiffres de l'édition de Septembre (Numéro 642) du mensuel incontournable Le Monde diplomatique. Frédéric Lordon, économiste, mentionne dans son article titré Quand la finance prend le monde en otage que les créances hypothécaires en circulation aux États-Unis atteindraient environ 1 300 milliards de dollars américain.

1 300 MILLIARDS.

En d'autres mots, cela implique que le crédit immobilier accordé aux acheteurs est immensément trop grand. Toujours selon l'article de M. Lordon, d'un à trois millions d'américain devrons éventuellement vendre leur maison pour faire face aux créanciers.


Comment, je me demande, une population peut elle se placer aussi près du gouffre financier?


Le rêve américain vous connaissez?


Vous savez, le concept que quiconque, uniquement sur la base de sa volonté mais surtout de sa citoyenneté peut obtenir tout le bien et le confort matériel qu'il désire?


La connerie.


Ce « rêve » qui sert bien entendu les directeurs financier et les conseillers des banques à pousser le « petit monde » à dépenser ce qu'ils ne possèdent pas.


Ainsi, bon nombre de personne qui ne peuvent se le permettent ajoute à leur budget une dépense hypothécaire.


Ultimement, le piège à con fonctionne. Les gens s'endettent mais ont une maison. Taxes, et dépenses relatives sont bien appréciés par les administrations des villes. Une maison impliquant toujours des frais afférent.


Mais la culture des avoirs inexistant à toujours son sombre côté.


Les paiements se font attendre et comme le monde ne peut se permettre cette dépenses, les entrées d'argents sont rares aux banques.


Le manque à gagner est encore plus grand et plus le temps avance, plus les sous sont rapidement attendus.


De façon générale, les banques ont fait passés les paiement hypothécaires mensuels moyens de 414 à 691 dollars.


Il n'en faillais pas plus pour que l'ensemble de la structure implantée ne tienne plus trop la route.


C'est bel et bien la mentalité ultra-libérale américaine. Cette mentalité qui prône l'échange entièrement libre des avoirs matériels et financiers sans que la gouvernance du pays n'interfère dans la structure globale de ses échange.


Avec cette méthode on crée une fausse très profonde, avec des rebords tranchants, on y jette les gens et éventuellement on balance quelques lions... Tout en se demandant pourquoi les gens s'y font dévorer et en attendant un God save América d'un Bush faussement émotif.


Comment dit-on déjà? À trop vouloir on perd tout? Je ne sais pas si c'est un vrai dicton, si non, j'en prend les droits d'auteur.