
Je suis tombé ce matin, via le site de Vigile sur un article de Christian Gagnon (que j'aime bien lire) et qui m'a profondément choqué.
Je vous le met ici en substance:
Comment peut-on accepter cela? Le jeune Trudeau affirme ne pas être lié à cet affichage publique, mais n'à pas non plus démontré son désaccord ou encore agis pour faire retirer ses affiches.Un ami m’en avait parlé ce matin, mais j’avais peine à y croire. Puis, en soirée, déambulant sur la rue Saint-Denis, Je les ai vues de mes propres yeux. Ce sont des affiches électorales uniques en leur genre. Unilingues anglaises, elles invitent les passants à appuyer le candidat libéral de Papineau, Justin Trudeau. Au centre se trouve un grand drapeau canadien flottant dans le vent au dessus d’un fleurdelisé plus petit, à l’envers et en flammes. De part et d’autre sont disposées une photo de Pierre Elliott Trudeau et une autre de son fils Justin. Enfin, on peut lire au bas de l’affiche « Vote Trudeau for a United Canada ».
La mention légale « Autorisé et payé par l’agent officiel de Justin Trudeau » ne s’y trouve pas, ce pourquoi on peut s’attendre à ce que le candidat libéral de Papineau soutienne que ces affiches ne proviennent pas de son organisation. N’empêche que la facture très soignée desdites affiches et le traitement franchement irrespectueux réservé au drapeau du Québec donne un bon aperçu du genre de personnes que la candidature de Trudeau motive. En voyant ces affiches, on ne peut que penser au congrès au leadership du PLC, en décembre 2006, lorsque Stéphane Dion est parvenu à l’emporter au quatrième tour de scrutin en rassemblant les opposants à la reconnaissance constitutionnelle de la nation québécoise, dont Justin Trudeau.
Encore mercredi dernier, sur les ondes de l’émission Ados-Radio de Radio-Canada, le jeune Trudeau avait bien du mal à cacher son inconfort face au concept de nation québécoise, affirmant que pour lui, faire ainsi une distinction entre les Québécois et les autres Canadiens n’était qu’une source de « division » mais que maintenant que c’était fait, il fallait « passer à autre chose ». On comprend fort bien par là qu’il faut à ses yeux maintenir la motion conservatrice adoptée en ce sens au Communes à son état actuel de coquille vide sans conséquences législatives et juridiques aucunes. Ses déclarations récentes sur la paresse des unilingues suintent le même travers inquiétant : un trudeauisme intégriste intransigeant dont les Québécois n’ont que faire en 2008. La bloquiste Vivian Barbot saura-t-elle nous en garder ? La balle est maintenant dans le camp des électeurs de Papineau.
Christian Gagnon
Montréal
Justin Trudeau, représente une véritable blague en politique québécoise actuelle. Il ne défend aucune idée précise, si ce n'est celles de son paternel. On peut se demander même s'il pourfend les politiques véhiculée par son chef et le parti lui-même.
Justin Trudeau évoque aussi un certain danger (ou un danger certain) pour la nation québécoise car il est de ceux qui s'opposent férocement à une reconnaissance de l'identité culture notable et différente du Québec. On ne parle pas de séparation ici.
Il faut comprend que le fils de Trudeau ne veut qu'établir ce que son père aura tenter en vain de faire; imposer le bilinguisme au Québec. Et si vos souvenirs son clairs, Pierre-Éliot Trudeau n'auras pas montré beaucoup de respect pour les Québécois, même s'il est né dans notre province. Plusieurs exemples notoires pourraient faire une preuve tangible, mais je me réserve ce prévilège pour un prochain papier.
Vivian Barbeau est la plus proche candidate en opposition à Justin Trudeau. et elle représente le Bloc Québécois.
Il est désormais temps de se poser une question? Veut-on sauver notre culture ou permettre a un pseudo politicien raciste et sans expérience de prendre le pouvoir pour tenter d'admettre les desseins de son défunt paternel?
Libellés : élections fédérales 2008, justin trudeau, politique
0 Commentaires:
Publier un commentaire
<< Home